Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué

Je m'en vais au loin, enfin pas trop loin, à quelques mètres à peine, pour feuilleter du bout des doigts et avec un regard avide, affamé et assoiffé, mon parallélépipède de papier narrant les hauts faits de diverses familles qui ne se supportent pas, histoire ô combien prenant dont je ne peux me décrocher de peur d'être brusquement et sauvagement sevré au péril de ma santé.

lol Isis, j'aime le ton dramatique.

Hihi Allez, une autre !

Dans quelques minutes, et donc une bonne flopée de secondes, je vais lever mon auguste postérieur de ma chaise, et ôter les vêtements de mes rejetons, au nombre de trois et non quatre, afin de leur faire revêtir d'autres habits ayant pour fonction de se mouiller sans désagrément. Ils vont par la suite (les rejetons, pas les vêtements) s'immerger dans un rond bleu azur (hihi, le clin d'oeil ^^) afin de profiter une dernière fois avant le mauvais temps d'un rayon de soleil bienvenu en cet été pluvieux.

Dans un récipient rond avec un manche, je viens de faire passer du crus au cuits de petits grains cultivés dans les pays asiatiques, avec des morceaux d'un animal à la queue en tire-bouchons, et d'un aliment sorti du droit des fesses de la poule, le tout arrosé d'un liquide brun obtenu à partir d'un légume également asiatique. Je mâche avec délice ce rassemblement de ces divers agréments, en feuilletant les pages d'un site dont ceux qui sont inscrits jouent à un jeu de simulation avec des personnages fictifs.

Mince, je connais sur les quelques jeunes littéraires du fo pour écrire des âneries, mais apparemment la sauce ne prend pas.

Donc, si un modo passe par là, vous pouvez supprimer le sujet. Merci.

Je dis à celle qui porte le doux nom me faisant penser aux eaux turquoise des sites tropicaux où le soleil brille bien souvent de milles feux et qui porte aussi le surnom d'un petit fruit bleuté bien de chez moi poussant bien souvent dans des endroits où des flammes orangées ont un jour courut, gambadant à une vitesse folle et avec une chaleur des plus insupportables qu'elle ne devrait pas chlore ce sujet pleins de poétisme avec une vitesse aussi folle que celle des formules un. Les jeunes tapageurs de claviers aux idées inspirées referont certainement surface avant que le lac ne soit trop froid pour leurs petits membres inférieurs munies de cinq compagnons les aidant à dévaler le chemin les menant jusqu'ici , en ce doux lieu de rencontre pour ceux qui aiment jouer avec les mots et prendre mille et un détour pour ne dire qu'une salutation tel bonjour, aurevoir ou allo, où encore expliquer avec 100 mots ce qui ne peut être dit qu'en un seul, les assembleurs de l'alphabet bien qu'aujourd'hui peu présent ne tarderont peut-être pas à faire comme moi, jeune personne aux attributs féminins, tapageuse de clavier.

Tout en usant de mon inspiration du moment qui n'est ni celle d'hier, ni celle de demain, je pose ma bouche sur un tube blanc à l'embout dorée comme l'or qui parsème parfois nos rochers ou nos petites boîtes précieuses dont le contenu peut s'avérer fort onéreux, ce tube est emplie d'une plante séchée mais aussi de pleins de toxicité tel le goudron, le monoxyde de carbone, uréthane, le méthanol, l'acide cyanhydrique et bien plus encore, n'ajoutons que l'ammoniaque pour nous rappeler le dégoût que ce tube devrait nous inspirer. Malgré tout cela, de mon pouce j'appuie sur mon petit objet emplie de gaz pour en faire jaillir la flamme et aspire une bonne bouffée de ce tube des moins santé.

Je sors de terre ce sujet quelque peu poussiéreux, qui avait totalement disparu de ma boite à souvenirs, qui se trouve en haut de mon corps, quelque part au dessus de mes yeux.

Je constate que j'ai fait un ventre bien tendue, et fait quelques pas au dehors drapée dans une dignité de bon aloi.

Je prends un paquet pour en sortir un triangle en papier couleur brun, je l'ouvre délicatement pour le mettre dans le réceptacle de la cafetière ! J'ouvre un tiroir de mon meuble de cuisine pour en sortir un pot, ce pot contient une poudre noire qui parfume la pièce des que l'on ouvre le pot! Je mets la poudre noire dans le triangle brun qui ce trouve dans le réceptacle, je ferme le réceptacle de la dite cafetière, je prends le pichet de la cafetière dans lequel je fais couler l'eau du robinet ensuite je verse cette eau dans la réserve d'eau de la cafetière, je remets le pichet sous le réceptacle la ou j'aie mi la poudre noir et j’appuie sur l’interrupteur de la cafetière pour que l'eau se déverse dans le réceptacle là ou ce trouve la poudre noire, pour que l'eau filtre la poudre noire et coule tout doucement dans le pichet !

Spoiler :

Je fais du café ! tout simplement

Lol ! Alors là oui, t'as vraiment bien compliqué, j'adore.

J'ouvre la porte coulissante du placard du couloir de mon appartement, je prends une boite qui se trouve sur la deuxième étagère du placard. Puis je vais m’assoir sur une chaise qui se trouve devant la table de mon séjour. je pose la boite sur la table, j’enlève le couvercle de la boite que je pose à coter de la boite, je prends une chaussure , je détends un peux les lacets, je chausse délicatement la chaussure à mon pieds droit, je resserre les lacets, je vérifie qu'ils soient à la même distance et je passe un lacet par dessus l'autre, je les entrecroise , je fais une boucle, je tire et le lacet est fait sans trop serré. Je me redresse et prends la deuxième chaussure que j'enfile à mon pieds gauche délicatement aussi, je vérifie la longueur des lacets, je serre les lacets, j'entrelace les lacets, je fais une boucle , je les resserre pas trop fort non plus! Je me redresse à nouveaux, je me lève en remettant la chaise sous la table de mon séjour, je prends le couvercle de la boite, je la remets sur la boite pour la refermer , je prends la boite et la remets sur la deuxième étagère de mon placard , je referme la porte coulissante de mon placard!

Je fais une tentative de ne pas faire boum bruyamment et de salir les murs, tout inhalant de l'oxygène par les narines de manière à faire gonfler ce qui contient la plupart des organes vitaux, tout en faisant travailler ma créativité, qui consiste à faire des mathématiques pour me propulser hors de ce qui est l'endroit où je paye un loyer, et où se trouvent mon gîte et mon couvert, afin de contourner le fait que le jour d'après aujourd'hui il fera une température seulement faite pour les aguerris de la chaleur, et ainsi de ne pas avoir à mettre mon appendice nasal à l'extérieur de par la-même.

J'ouvre mon sac à main, j'en sors un carnet et un crayon, j'ouvre le carnet et écrit une liste de mots, je referme le carnet, le remets avec le crayon dans mon sac à main, je referme mon sac à main, j'ouvre mon placard du couloir , je prends un sac avec des roues, je referme la porte du placard, je tourne la clé de la serrure de la porte d'entrée et je les enlève de la serrure, j'ouvre la porte puis je sors et referme la porte je mes la clé dans la serrure je la tourne pour verrouiller la porte, je prends mon sac à roulette, je marche durant 15minutes , j'arrive devant le parc à caddy , je mets mon sac à roulette dedans et j'entre dans le supermarché, je sors mon carnet de mon sac à main, je prends mon crayons et je barre les mots de la liste au fur et à mesure que je prends les articles correspondant aux mots de la liste, une foie la liste compléter, je me dirige vers une fille de personnes, j'attends mon tour, une foi mon tour arriver je mets tout le contenue de mon caddy sur un tapis roulant, une gentille dame passe les articles devant un lecteur infrarouge qui lit un code sur l'article, et le fait sur chacun des articles, je remets les articles dans le caddy, j'ouvre mon sac à main pour prendre mon porte monnaie et en profite pour y ranger mon carnet et le crayon, une foie fini je me dirige vers un café pour prendre une boisson rafraichissante, je sors mon sac à roulette et je mets tout mes articles dedans, une foi ma boisson but, je sors du magasin, remet le caddy dans le parc à caddy et je retourne chez moi!

Spoiler :

Je prends mon caddy à roulette, je fais met courses et prends une pose café avant de rentré chez moi.

J'adore parce que je fais la même chose ^^ y compris le sac à roulettes ^^. Huhu.

Je m'avance pret du bureau, je prends un livre, j'ouvre le livre et dans le tiroir du bureau je sors un crayon à papier gris, une gomme et un taille crayon! Je reprends le livre, je regarde la page sur laquelle est disposer pleins de case noir et blanche, dans certaine case il y a des lettre. Sur la gauche de la grille, une liste de mots avec un certain nombre de lettre, je compte les case blanche et essayes de trouve le mots qui va à cette endroit , le premier mot et toujours difficile à placer, après quoi je regarde les lettre déjà dans la grille et regarde le mots qui correspond au lettres déjà en place et écrit les lettres du mot dans la grille et je fais pareil avec tout les mots et remplis la grille, une foi remplis je remet le carnet, les crayons à papiers, la gomme et le taille crayon dans le tiroir du bureau!

y a pas que moi qui fait du compliqué quand même.

Je vais dans ma cuisine,je me penche tend mon bras et ouvre un tiroir , je tends mon deuxième bras puis avec ma main entour une bouteille en plastique dans laquelle ce trouve de l'eau, je referme mon tiroir , je pose la bouteille qui ce trouve serré par ma mains sur sur plan de travail c'est le meuble de la cuisine sur lequel, je prépare mes repas! une foi la bouteille poser j'étends mon bras je prends un verre qui ce trouve sur l’égouttoir à vaisselle qui est en bois, je le pose le fond du verre sur le meuble de façon a ce que le liquide aille dans le verre, une foi le verre poser, je reprends la bouteille avec ma main gauche j’enlève le bouchon de la mains droite, je pose le bouchons sur le plan de travail, avec mes deux mains je serres la bouteille, la lève puis la bouscule légèrement, verse de l'eau jusqu'au rebord du verre, je repose la bouteille je rebouchonne et enfin je saisi le verre de ma main droite et amène le verre à ma bouche et bois l'eau qui si trouve.

J'ai une extrême difficulté en cette période qui n'est ni le passé, ni l'avenir, à faire courir mes doigts sur les touches, pour, à l'aide des lettres de l'alphabet, mettre des mots les uns à la suite des autres, ceci dans le but de me faire comprendre.

C'est rigolo comme jeu
(Oui j'arrive en retard )

Comme souvent c'est avec la concentration la plus grande que je tente de stimuler chaque partie de mon cerveau liéeliée à ma mémoire dans le but qu'elle s'adresse finalement à moi et m'aide dans ma grande réflexion du moment. Hélas elle ne semble pas décidé à me venir en aide je suis donc forcée d'attendre qu'elle veuille coopérer.

Spoiler :

Une fois de plus j'ai zappé ce que je voulais faire

ah à toi aussi ça t'arrive de zappé se que tu voulais dire parfois

Mes doigts avides de sensations parcourent des formes rectangulaires remplies de symboles dont la réunion réveille en moi des images animées aux couleurs chamarrées et chatoyantes qui se reflètent dans mes lobes cérébraux et transitent à travers mes neurones. Au fur et à mesure de mon avancée, mes doigts passent à une autre forme rectangulaire, les animations réagissent à la moindre sollicitation visuelle engendrée par la vision de ces symboles dont seuls les initiés sont à même de comprendre...

Toutes les fibres de mon corps ressentent la verticalité de la gravité. Paisiblement mes muscles et mes os tibiatiques sont repliés dans un angle parfaitement confortable. Cependant quand j'écris de ma verve bien célèbre, j'ai parfois des tressautements dans la main gauche signe que couve éternellement la nervosité qui m'habite.

La respiration rapide, entrecoupée par l'entrée d'atmosphère rance et la sortie de gaz carbonique, les cheveux en bataille, les yeux brillants, le regard fatigué, cerné, la peau nue ruisselante de sueur, ponctuée de gouttelettes dévalant langoureusement les courbes de son corps enseveli sous des draps épars et chiffonnés... Le regard hagard, injecté de sang, scrutant les alentours à la recherche de sa moitié...

Je me sens tellement en diagonale, l'oeil hagard, le cheveu en pétard, la chemise de nuit toute froufroutée. Je me recherche dans mes pensées et mes doigts se dispersent vers des touches peu usités du clavier AZERTY. (qui je le précise va être amélioré en BEPO : https://www.liberation.fr/futurs/2017/06/10/claviers-le-bon-vieux-azerty-menace-par-le-bepo_1575449)

Je constate, non sans un certain effroi, que mon ancien compte a une image représentative d'une personne de sexe masculin et non imberbe ^^