On continue notre Let’s Play du jeu Les Sims Medieval en allant découvrir une nouvelle quête du jeu : Une vague de grossièreté ! Elle s’annonce plein de jurons et me plait déjà ! Autant vous dire tout de suite qu’on va être dans les clichés et loin de la finesse.
Le résumé de cette quête est assez simple, notre royaume grandit, se développe et s’enrichit mais les vieilles habitudes ont la peau dure et nos voisins se moquent du language disons franc de nos Sims… Il est donc tant de remédier à cela avec deux approches possibles : l’éducation ou la discipline. La première part du principe qu’il est tout à fait possible de convaincre les plus dissipés de bien se comporter (et augmente le score de Culture du royaume). La seconde prend le contre pied et cherche à punir tous les « mauvais comportements ».
Je vais partir sur la première approche, dommage pour les piloris qui venaient d’être lustrés… Nous allons donc partir avec Amédée, notre troubadour pour tenter, avec un peu de musique et de poésie d’adoucir les mœurs.
On retrouve notre barde dans la salle de réception du château. Amédée est déprimé, lorsqu’il sort à la taverne après sa journée de travail, il n’entend que rots, pets et autres cris pour demander des chansons. Las. Quelques notes de luth devraient le détendre.
Au final, l’effet escompté n’est pas arrivé. Amédée est toujours aussi tendu. Il doit d’abord résoudre ses problèmes avec les paysans locaux avant de continuer mais comment y arriver. Il peut soit faire un vœu au puits aux souhaits ou affronter directement les Sims indélicats. Il faut régler ce souci rapidement. Amédée prend donc son courage à deux mains et… fuit en direction du puits aux souhaits.
Un second choix nous est proposé. Soit Amédée fait un petit don pour demander à ce que les paysans quittent la ville, soit un plus gros vœu en espérant qu’ils meurent dans d’atroces souffrances… Alors, là comme ça, bien évidemment je choisirais la première option. Si tous les gens qui pêtaient devaient mourir, le film La Soupe au Choux n’aurait jamais vu le jour… Mais, au démarrage de la quête, il y avait un point d’exclamation indiquant que cette quête pouvait avoir des conséquences si elle était négligée. Est-ce que faire un tout petit don serait considéré comme négliger la quête…
Bon, on va quand même partir sur la première option. Direction le puits sur la place du village. Moyennant 5 simflouzs, nous pourrons faire notre « petit » vœu. Un peu plus de 5 simflouzs au final puisque le puits était un peu têtu et n’a pas donné suite aux 3 premiers vœux d’Amédée…
Au final le vœu est accompli et notre Sim peut retourner à la taverne. A l’arrivée, un étrange spectacle. Je vous jure que j’ai bien choisi le petit vœu pour faire partir temporairement les paysans, qu’est-ce qui a bien pu leur arriver ?
Ouf, ils n’étaient qu’en train de cuver au sol. A leur réveil, Amédée respire leur joie, leur bonne humeur et… leurs rots ? Le vœu ne s’est-il pas accompli au final ?
Pour oublier cet épisode, Amédée part vers les fûts de boisson pour se servir un verre.
Entre deux gorgées, le Sim se souvient d’un dramaturge qui écrivait des pièces avec des personnages humiliés puis présentés en exemples. Ca pourrait être une idée pour l’artiste qu’il est. Direction la bibliothèque pour en savoir plus.
Après une heure de lecture, il tombe sur une pièce « Des paysans dissipés ». Amédée va reproduire cette pièce et s’inventer un personnage de paysan appelé Lulu. Pour y arriver il va devoir faire quelques tâches dans un premier temps. Écrire le texte bien sûr mais aussi teindre de nouveaux costumes dans la cheminée.
Une fois le costume prêt, Amédée l’enfile pour aller voir si il peut s’intégrer dans la foule. Malheureusement son vocabulaire reste trop soigné. Il a deux possibilités, soit il peut cracher au visage pour être bien dégoûtant soit il embrasse un autre par surprise. Autant dire qu’on a vu plus poétique… Au point où on en est dans les clichés, on va choisir l’option dite du lama, cracher sur les autres… Et ce qui devait arriver arriva, le crachat les… fait rire ?
Pour aller au fond du personnage, le jeu nous encourage ensuite à faire picoler notre Sim jusqu’à ce qu’il devienne ivre. Qui dit ivre dans une taverne dit bagarre générale qu’il va falloir déclencher. Toujours pour être dans la peau du personnage bien sûr.
Une fois prêt et la pièce écrite, notre barde peut tenter de la jouer.
La pièce est un succès ! Les paysans présents dans la salle semblent réfléchir à leur comportement et ont l’air décidés à changer de comportement. Notre barde peut aller boire un verre pour fêter la bonne nouvelle !
